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La conduite forcée joue un rôle essentiel pour la rentabilité des centrales de moyenne et haute chutes. En neuf, elle représente souvent le premier poste d’investissement d’un projet. Sa rénovation met en œuvre des techniques spécifiques de réparation, de décapage et de traitement qui prolongent sa durée de vie et lui redonnent toute sa performance.
4 - Actus
6 - En régions
8 - Marché
10 - En pratique : Valoriser les données d’un parc de centrales
Les exploitants adoptent différentes stratégies pour la supervision d’un parc de centrales hydroélectriques : soit ils créent eux-mêmes leur propre solution sur mesure, soit ils adaptent des produits existants. Par Bruno Morgat et Juliette Talpin
16 - Innovation : Dénoyer une conduite forcée pour gagner en flexibilité
Le projet de recherche suisse SmallFlex montre qu’il est possible de faire turbiner plus longtemps une centrale de haute chute au fil de l’eau, en période de faibles débits, de mieux placer la production sur le marché et de fournir des services de réglage de tension. Cela grâce au dénoyage du dessableur, de la chambre de mise en charge et d’une partie de la conduite forcée. Par Juliette Talpin
DOSSIER : CONDUITE FORCÉE, UN ÉQUIPEMENT CAPITAL
24 - Conduites forcées, l’art du compromis
28 - Conduites PRV emboîtables, pour tracés rectilignes
32 - Moins d’efforts grâce au détensionnement
36 - Robot décapeur à l’Argentière-la-Bessée (Hautes-Alpes)
38 - Monitoring : les conduites forcées sous surveillance
42 - Centrale à la loupe : Centrale de Notre-Dame-des-Millières (Savoie), maxi hauteur de chute et mini débit
Avec son exceptionnelle hauteur de chute brute de 937 m, la construction de la centrale de Notre-Dame-des-Millières a demandé de relever des défis techniques et économiques. En cause : la réalisation de deux prises d’eau, de deux restitutions, de 5,5 km de conduites forcées et l’implantation d’une turbine Pelton atypique. Par Juliette Talpin
52 - Juridique : Définir la consistance légale sans recours aux états statistiques
Comment définir la consistance légale d’un droit fondé en titre, ou encore d’une autorisation délivrée avant 1919 pour une puissance n’excédant pas 150 kW ? Voici une question qui provoque bien des discussions entre les propriétaires d’ouvrages et l’Administration, depuis de nombreuses années, et qui alimente également bien des débats devant les juridictions administratives. Par Jean-François Remy
56 - Agenda