Votre panier est vide maintenant.
Les producteurs de petites puissances optent en général pour la génératrice asynchrone, en raison de sa rusticité, de sa facilité de maintenance et de son coût modéré. Mais son point faible tient à la nécessité de compenser le réactif par des condensateurs sensibles à la surchauffe. Au-delà de 300 kW, les alternateurs à pôles bobinés s’imposent lorsque la vitesse est élevée et les alternateurs à aimants permanents trustent la basse vitesse.
4 - Actus
6 - En régions
8 - Marché
10 - En pratique : Complément de rémunération, à vos calculettes !
Les contrats avec complément de rémunération représentent 8 % de l’ensemble des contrats H16. Cette faible proportion s’explique notamment par la lourdeur du processus de facturation et de règlement mais aussi par la complexité du calcul dudit complément. Puissance Hydro décortique cette formule de calcul. Par Stéphane Signoret
16 - Innovation : Micro-STEP solaire, sortie de labo d’ici 2022 en Corse
L’entreprise STEPSol, lauréate en 2020 d’un appel d’offres de la CRE pour les zones insulaires, va construire son premier démonstrateur d’ici quelques mois avec des collectivités corses : 125 kW de pompage/turbinage couplés à 250 kW de photovoltaïque. Un second doit suivre en Colombie. Par Franck Turlan
DOSSIER : CHOISIR LA BONNE GÉNÉRATRICE
22 - Synchrone ou asynchrone ?
26 - Les alternateurs à aimants permanents ont trouvé leur marché
32 - Un bandeau garanti grâce à l’électronique
36 - Condensateurs sous surveillance
40 - Chantiers à la loupe : Centrales EDF du Haut-Pays niçois (Alpes-Maritimes), un an après Alex, 4 sites toujours en travaux
D’ici 2023, EDF aura investi 50 M€ pour remettre en service les 14 centrales de l’arrière-pays niçois, ensevelies sous la boue et les embâcles le 2 octobre 2020. Un peu plus d’un an après la tempête Alex, les travaux de remise en état des groupes se poursuivent encore dans 4 centrales. Par Juliette Talpin
50 - Juridique : Renouvellement des concessions hydroélectriques, quasi-régie et égalité de traitement
La mise en concurrence des concessions hydroélectriques à l’occasion de leur renouvellement, régulièrement différée depuis 2010, est toujours sur la table des négociations entre Paris et Bruxelles. De nombreux arguments ont été avancés par ceux qui cherchent les moyens d’échapper à cette mise en concurrence. Parmi ces arguments a émergé depuis deux ans la formule de la "quasi-régie", présentée par ses tenants comme étant la seule permettant de déroger à la mise en concurrence. Qu’en est-il réellement et quel serait le périmètre de cette quasi-régie ? Par Bernard Kieffer
56 - Agenda