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Turbine la plus fréquemment installée dans le monde, la turbine Francis doit son succès à son adaptabilité à des débits d’équipement et des hauteurs de chute variés. La morphologie de la roue elle-même est multiple : d’une « galette » à petite entrée d’eau, jusqu’à une « quasi-Kaplan » aux longues aubes. Son rendement, excellent au-delà de 70 % du débit nominal, se dégrade en revanche très vite en-deçà de cette valeur. Les producteurs optent donc souvent pour 2 turbines de puissances différentes ou une turbine à double roue.
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6 - En régions
8 - Marché
10 - En débat : Rémunérer la flexibilité sans attendre 2035
"Pas besoin de nouvelles flexibilités avant 2035". C’est la position de l’État, que reprend RTE. Mais à court terme, les producteurs d'hydroélectricité souhaiteraient au moins une reconnaissance monnayée du service qu’offrent aujourd’hui les centrales dans le maintien du plan de tension, essentiel à l'équilibre du réseau. Par Franck Turlan
14 - En pratique : Dégrilleurs, les clés pour bien choisir
La fiabilité et l’efficacité du dégrilleur sont essentielles à la performance d’une centrale hydroélectrique. Qu’il soit à chaîne, à pas de pèlerin, à bras fixe ou articulé, chaque type de dégrilleur a ses spécificités. Tour d’horizon des différents modèles. Par Aude Richard
DOSSIER : TURBINES FRANCIS, OPTIMISER LA PRODUCTION
24 - La Francis, une turbine polymorphe
28 - Une Francis en by-pass de brise-charge
32 - Une double roue Francis pour des débits variables
36 - Turbinage sans réserve grâce à un 7e groupe Francis
38 - Centrale à la loupe : Le Moulin de Ronsard (Loir-et-Cher), vis hydrodynamiques et continuité écologique
À Couture-sur-Loir, Roland Manouvrier et Christine Hoguin ont redonné vie au moulin du poète. À la place des turbines Fontaine et à la demande de l’Administration, ils ont opté pour deux vis d’Archimède, au travers desquelles les poissons peuvent dévaler. Par Aude Richard
44 - Juridique : Schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) : une effectivité juridique toute relative
On pouvait penser jusqu’à il y a peu que les dispositions d’un Schéma d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE) avaient une force juridique contraignante pouvant aller jusqu’à remettre en cause la validité d’une autorisation d’exploiter un aménagement hydroélectrique. En réalité, un arrêt rendu par le Conseil d’État le 11 mars 2020, permet de nuancer fortement ce propos. Par Xavier Larrouy-Castéra
48 - Agenda